Un rêve pour t'atteindre
Ce fut un beau matin d'été, je me suis prélassé sous les premières lueurs du soleil levant,
Les yeux presque mi-clos, je me suis laissé bercer par la douceur des souffles de vent,
J'essayais en vain de revoir en moi cette fille innocente que je pouvais bien être avant,
Dans mes chimères jaillissaient les flammes qui dansent dans mon âme depuis toujours,
Je rêvais de celui-ci toutes les nuits, discrètement, je te dévore des yeux tous les jours,
Si seulement j'étais ton étoile au milieu de tes nuits, ton unique soleil éclairant tes jours,
Quand près de moi, tu es là à toujours et encore, ne faire que luire par ta présence,
Alors tout à coup, je n'ose même pas t'avoués que je peux ressentir une certaine aisance,
Auprès de toi, j'aimerais savourer des instants parsemés de joies, d'amour et de plaisances,
Traversant les odes, je te rejoins dans ce lointain paradis que tu viens de bâtir,
Aussi loin que tu voudras, ce n'est nul autre qu'avec toi que je veux bien partir,
Même s'il arrive que j'ai peur ou froid, c'est entre tes bras que je vais me blottir,
Sous l'éclat de ton regard, je sens bien que j'en ai sans cesse la peau qui frissonne,
Hélas déjà le petit matin s'en va, j'entr'ouvre mes paupières, j'entends le réveil qui sonne,
Autour de moi, j'observe, je cherche, tristement, alors je m'aperçois qu'il n'y a personne,
Ton visage est soudainement parti comme une lueur d'un feu qui a fini par se consumer,
Mon cœur, en lui, par des barrières construites d'amour, il t'a pris puis t'a enfermé,
Tu resteras toujours en cet éternel rêve où j'ai pu, autant que je le désire toujours, t'aimer.
Ce fut un beau matin d'été, je me suis prélassé sous les premières lueurs du soleil levant,
Les yeux presque mi-clos, je me suis laissé bercer par la douceur des souffles de vent,
J'essayais en vain de revoir en moi cette fille innocente que je pouvais bien être avant,
Dans mes chimères jaillissaient les flammes qui dansent dans mon âme depuis toujours,
Je rêvais de celui-ci toutes les nuits, discrètement, je te dévore des yeux tous les jours,
Si seulement j'étais ton étoile au milieu de tes nuits, ton unique soleil éclairant tes jours,
Quand près de moi, tu es là à toujours et encore, ne faire que luire par ta présence,
Alors tout à coup, je n'ose même pas t'avoués que je peux ressentir une certaine aisance,
Auprès de toi, j'aimerais savourer des instants parsemés de joies, d'amour et de plaisances,
Traversant les odes, je te rejoins dans ce lointain paradis que tu viens de bâtir,
Aussi loin que tu voudras, ce n'est nul autre qu'avec toi que je veux bien partir,
Même s'il arrive que j'ai peur ou froid, c'est entre tes bras que je vais me blottir,
Sous l'éclat de ton regard, je sens bien que j'en ai sans cesse la peau qui frissonne,
Hélas déjà le petit matin s'en va, j'entr'ouvre mes paupières, j'entends le réveil qui sonne,
Autour de moi, j'observe, je cherche, tristement, alors je m'aperçois qu'il n'y a personne,
Ton visage est soudainement parti comme une lueur d'un feu qui a fini par se consumer,
Mon cœur, en lui, par des barrières construites d'amour, il t'a pris puis t'a enfermé,
Tu resteras toujours en cet éternel rêve où j'ai pu, autant que je le désire toujours, t'aimer.
